Jean FERNAND-TROCHAIN (Rueil-Malmaison, 1879 - Paris, 1969)
Sacha Finkelstein, Le château vu des Ballats
Marie-Jeanne FOURNIER (Clermont-Ferrand, 1878 - Fresnay-Reugny, 1962)
Il a mené une grande carrière de paysagiste, exposant régulièrement dans les Salons de la capitale : Automne, Indépendants, Tuileries, Société nationale des Beaux-Arts.
Il représente aussi bien la ville que les campagnes, les bords de rivière ou de mer, la montagne, en manifestant un attrait particulier pour la neige.
Il représente aussi bien la ville que les campagnes, les bords de rivière ou de mer, la montagne, en manifestant un attrait particulier pour la neige.
Jean Fernand-Trochain, Le château de Murols en hiver
Alexandre, dit Sacha FINKELSTEIN (Odessa, 1878 - ?)
Originaire d’Europe de l’Est, né à Odessa en 1878. Il arrive à Paris en 1907 après une première tranche de vie dont nous ne savons rien.
Un séjour à Murol est attesté durant l’hiver et le début de printemps 1916. Il est immédiatement apprécié par le groupe de peintre de l’Ecole de Murol. Finkelstein y exécute de nombreux portraits - on en connaît une trentaine. Il peint également des paysages, des natures mortes, des fleurs.
En 1918 il monte à bord d’un paquebot qui le mènera jusqu’à New York. Toujours aussi obscure sera sa vie d’après.
Un séjour à Murol est attesté durant l’hiver et le début de printemps 1916. Il est immédiatement apprécié par le groupe de peintre de l’Ecole de Murol. Finkelstein y exécute de nombreux portraits - on en connaît une trentaine. Il peint également des paysages, des natures mortes, des fleurs.
En 1918 il monte à bord d’un paquebot qui le mènera jusqu’à New York. Toujours aussi obscure sera sa vie d’après.
Sacha Finkelstein, Le château vu des Ballats
Victor FONFREIDE (Volvic, 1872 - id., 1934)
Il étudia à l’école d’architecture de Volvic, aux Beaux-arts de Clermont-Ferrand, de Paris, et aux Arts Déco. Spécialiste des scènes rurales auvergnates, il fut illustrateur, avec un travail particulier à la craie et à l’aquarelle.
Marie-Jeanne FOURNIER (Clermont-Ferrand, 1878 - Fresnay-Reugny, 1962)
Le talent de Marie-Jeanne Fournier s’est développé au cours d’une formation particulièrement solide : elle a fréquenté l’Académie Julian à Paris, l’une des rares écoles offrant la possibilité aux femmes de se former artistiquement, grâce à six ateliers ouverts à travers la capitale comprenant des maîtres comme Vuillard, Matisse, Bonnard, Valloton.
Native de Clermont-Ferrand, elle retourne en Auvergne à l’occasion de son mariage avec un pharmacien de la capitale puydômoise. Elle fut ainsi très active au sein des associations d’artistes locales.
Marie-Jeanne Fournier expose au Salon des Artistes français à Paris en 1909, aux Salons du Centre à Clermont-Ferrand en 1945 et 1946.
Sa peinture allie sens de la construction et sensibilité impressionniste, et présente des neiges autant fortes que délicates, peut-être traversées par l’influence amicale de Victor Charreton de qui elle était très proche. Ses fleurs sont également remarquables.
Native de Clermont-Ferrand, elle retourne en Auvergne à l’occasion de son mariage avec un pharmacien de la capitale puydômoise. Elle fut ainsi très active au sein des associations d’artistes locales.
Marie-Jeanne Fournier expose au Salon des Artistes français à Paris en 1909, aux Salons du Centre à Clermont-Ferrand en 1945 et 1946.
Sa peinture allie sens de la construction et sensibilité impressionniste, et présente des neiges autant fortes que délicates, peut-être traversées par l’influence amicale de Victor Charreton de qui elle était très proche. Ses fleurs sont également remarquables.
Marie-Jeanne Fournier, Royat, la grande allée du Parc Bargoin